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Ecole doctorale (Vie –Agro – Santé)
Houda Chelaifa
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allopolyploïde et dynamique fonctionnelle du génome chez les
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Ecole doctorale: Vie-Agro-Santé EXPLORATION FONCTIONNELLE DE GENES
Elodie Fleury
2016
Through differential screening between oyster families selected for high and low summer survival, we have characterized a new transforming growth factor-β (TGF-β) superfamily member. This novel factor, named oyster-gonadal-TGFβ-like (og-TGFβ-like), is synthesized as a 307 amino acid precursor and displays 6 of the 7 characteristic cysteine residues of the C-terminal, mature peptide. Sequence comparison revealed that og-TGFβ-like has a low percentage of identity with other known TGF-β superfamily members, suggesting that og-TGFβ-like is a derived member of this large superfamily. Real-time PCR (RT-PCR) analysis in different oyster tissues showed that og-TGFβ-like is specifically expressed in both male and female gonads, at distinct levels according to the reproductive stage. Og-TGFβ-like relative expression was the lowest at the initiation of the reproductive cycle and increased as maturation proceeded to achieve a maximal level in fully mature female and male oysters. In situ hybridisation demonstrated that expression was exclusively detected in the somatic cells surrounding oocytes and spermatocytes. The role of this newly-characterized TGFβ member in the reproduction of cupped oyster is discussed in regard to the specificity and the localization of its expression, which singularly contrasts with the pleiotropic roles in a variety of physiological processes commonly ascribed to most TGF-β family members identified so far.
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Spécialité: Environnement et agronomie Par
mohamed abbaz
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UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR OPTION : Espaces, Sociétés et Développement (ESD) SUJET Présenté par : Sous la direction de : CARACTERISATION DU SYSTEME DE PRODUCTION AGRICOLE DANS LA COMMUNE DE OUDALAYE
bocar diallo
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Académie d'agriculture de France Rennes Métropole
Nathalie Blanc
Textes des interventions au colloque Devenir métropole soutenable, des stratégies territoriales partagées, Agrocampus ouest, Rennes, 14 et 15 octobre 2014. Où en sont les villes durables en Europe et dans le monde ? Cyria Emelianoff, ESO, Université du Maine emelianoff@free.fr S'il n'est pas possible, en un temps aussi bref, de dresser un bilan des expériences de durabilité urbaine de par le monde, et cela d'autant plus que chaque trajectoire de développement urbain durable est singulière, s'ancre dans la durée et dans une histoire politique locale, on peut tenter d'en brosser un panorama plus conceptuel, en s'attachant aux renouvellements induits par cette nouvelle génération de politiques publiques. Les villes durables n'existent pas, elles sont au mieux un horizon d'action politique, l'expression d'une velléité d'infléchir les trajectoires de développement, selon un référentiel qui s'impose progressivement aux politiques publiques à la fin du XXème siècle. Pourquoi ? Depuis les années 1990, à l'horizon de raréfaction des ressources mis en lumière par le Club de Rome, s'ajoutent ceux du dérèglement des grands cycles biogéochimiques, des limites des capacités d'épuration de la biosphère et de l'altération des grands compartiments terrestres. Les villes entrent progressivement dans l'ère du Global Change. Dans la veine des travaux de Vernadsky, on peut considérer l'environnement planétaire biophysique comme le sous‐produit des activités et des économies urbaines (Brugmann, 2009). L'environnement urbain et l'environnement planétaire ne forment alors qu'une seule réalité. Les questions de justice sont redimensionnées, les politiques environnementales (climatiques par exemple) ont des effets économiques et sociaux à de multiples échelles. La nouveauté de ces enjeux n'est qu'apparente ou partielle. Les idées socle de la ville durable n'ont cessé d'être posées et marginalisées au long du XXème siècle (Geddes, Mumford, McHarg, …). Ces idées n'ont commencé à trouver un début d'opérationnalisation que lorsque le contexte le rendait inévitable. La reconnaissance et l'imposition du référentiel de la ville durable se sont jouées en trois temps. Dans la période post‐68, qui a connu notamment des mobilisations citoyennes fondatrices des politiques environnementales urbaines ; après les chocs pétroliers, qui ont déclenché une transition énergétique dans les villes états‐uniennes, enrayée par l'arrivée au pouvoir de Ronald Reagan (Morris, 1982) ; et après le premier rapport du GIEC, en 1990, qui voit fleurir plusieurs associations transnationales de villes dédiées à la durabilité. Celles‐ci inventent à proprement parler les premières politiques de développement urbain durable : agendas 21 locaux, plans de réduction du CO2 urbain, éco‐budget, etc. La ville durable n'incarne donc pas tant la vision optimiste ou idéalisée d'une utopie urbaine qu'elle n'est le produit d'un changement de contexte redéfinissant les bases matérielles et énergétiques de l'existence urbaine. Les villes commencent à modifier la matérialité de leurs réseaux techniques et de transport, leurs modes d'organisation territoriale, leurs façons de construire, à réinterroger leurs dépendances à l'égard des
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1 Faculté des Sciences, Département d’Agronomie
Mohamed El Raey
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Modèle de bilan énergétique d’une serre agricole sans couvert végétal
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COURS DE BIOLOGIE VEGETALE 1 ère Année LMD Conçu et préparé Par Mme BOUZID Salha
Fella Aounallah
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DOCTEUR DE L'INSTITUT SUPERIEUR DES SCIENCES AGRONOMIQUES, AGRO-ALIMENTAIRES, HORTICOLES ET DU PAYSAGE Spécialité: « Sciences de l’Environnement » Ecole Doctorale: « Vie Agro Santé »
Hayo van der Werf
2011
Ivonne ACOSTA-ALBA Quelles valeurs de référence pour l’analyse de la durabilité environnementale des systèmes de production animale? Méthode de détermination et application aux exploitations laitières de Bretagne
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DOCTEUR D’UNIVERSITE (Spécialité: CHIMIE ORGANIQUE BIOLOGIQUE) Par
Radouane Affani
2012
DUGAT Denise CR CNRS Université Clermont IIJe dédie ce mémoire de thèse à ma mère mon père mes frères et soeurs ma famille et mes amis tel-00685963, version 1- 11 Apr 2012 pour leur soutien constant avec toute ma reconnaissance et tout mon amourREMERCIEMENTS Tout d’abord, je tiens à remercier Monsieur Jean Bolte, Professeur à l’Université Blaise Pascal et directeur du laboratoire SEESIB pour m’avoir accueilli dans son laboratoire. Toute ma reconnaissance va à Madame Denise DUGAT, Chargée de Recherche au CNRS, qui m’a guidé et conseillé tout au long de ces recherches avec un intérêt permanent. Ses compétences et sa rigueur scientifique ont été pour moi une aide précieuse pour mener à bien ce travail. Qu’elle trouve ici le témoignage de ma respectueuse gratitude.
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Ecole doctorale Sciences de la Matière présentée par
Najat Bhiry
2014
Les bois flottés actuels et ressources ligneuses archéologiques trouvés sur la côte ouest du Nunavik ont été étudiés afin de documenter leurs cararctéristiques, méthodes de collecte, exploitations et origines. Au total, 1572 bois flottés provenant des plages d'Ivujivik, Akulivik, Inukjuak et Umiujaq ont été examinés. Ces bois étaient moins nombreux, de plus petites tailles et plus dégradés dans les aires les plus au nord. Huit taxons ont été identifiés sous microscope. L'épinette était majoritaire, suivie du saule, du mélèze, du peuplier et de l'aulne. Le cèdre blanc, le bouleau blanc et le sapin baumier étaient également présents mais extrêmement rares. La composition de 293 bois archéologiques, 550 charbons et 11 artéfacts ligneux provenant de 11 sites archéologiques dans les quatre zones d'études n'était guère différente. Des charbons de pin rouge ou pin sylvestre et de châtaignier ont été découverts dans un site archéologique à Ivujivik mais étaient probablement importés. De plus, de nombreux charbons d'éricacées probablement locaux ainsi que du chêne ont été trouvés dans les sites archéologiques aux alentours d'Umiujaq. La présence du cèdre blanc et du bouleau blanc dans les amas de bois flottés actuels et archéologiques témoigne d'une origine des bois au sud et sud-est de la Baie de James. Ce résultat est également appuyé par les études comparatives et interdatations des largeurs moyennes de cernes de croissance. Des entrevues avec 27 Aînés dans les quatre villages révèlent que : le vocabulaire du bois était plus diversifié dans les villages les plus méridionaux; les arbustes étaient coupés en automne et utilisés pour la confection de matelas ou pour le feu; les plus gros bois étaient prioritairement utilisés pour la construction des bateaux, des kayaks et traîneaux; à Ivujivik, les bois flottés étaient principalement collectés l'été par bateau autour des îles alors que plus au sud, les gros bois étaient collectés ou coupés l'hiver puis rapportés par traîneaux à chiens. Finalement, des expérimentations visant à différencier chimiquement un bois flotté d'un bois non flotté pour en déduire le mode de collecte des gros bois archéologiques, ont montré un plus fort enrichissement en sodium dans les bois immergés. Des analyses en composantes principales (ACP), basées sur les concentrations relatives des cations, montrent que les bois immergés et secs peuvent être séparés en deux groupes. La complémentarité de ces recherches xylologiques, anthracologiques, radiométriques, dendrochronologiques, sociales et chimiques sur les ressources ligneuses au Nunavik apporte des connaissances précieuses et inédites sur cette matière première fondamentale dans la vie quotidienne des Inuit et de leurs ancêtres.
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